« Nekhod ha’na bi idna » : quand la justice privée refait son apparition au Liban

« Ceux qui ont faim ont droit »
Certes.
Mais le problème au Liban, c’est que les misérables qui ont faim n’ont même plus de droits….
l’Etat qualifie ces braquages bancaires « d’actes criminels », l’Association des déposants les qualifie de « révolte ». Quelle perspective adopter ?

Photo: @mona_fawaz via twitter Continue reading « Nekhod ha’na bi idna » : quand la justice privée refait son apparition au Liban